“Pour éviter le point de non-retour de l’épuisement professionnel, mieux vaut s’en préoccuper à temps”, rappelle un récent article publié sur le site de BFMTV. Dès lors, rien de tel que de rappeler les signes avant-coureurs de sa survenue.
En effet, comme le rappelle le psychologue clinicien Éric Hennekein, si sournois soit-il, le risque de burn-out s’annonce par une série de symptômes :
- La sensation d’être déprimé,
- L’anxiété,
- Des troubles du sommeil,
- Des troubles liés à l’alimentation,
- La consommation de drogues,
- Une dévaluation de sa qualité de vie.
Toutefois, ces symptômes pouvant être délicats à évaluer, en cas de doute, le psychologue conseille de recourir à une consultation spécialisée plutôt qu’à “une simple visite chez le médecin généraliste, par définition moins spécialisé dans le mal-être professionnel”.
Pour aller plus loin :
“Epuisement professionnel ou burnout”, dossier publié par l’Institut national de recherche et de sécurité (INRS).